L’international français originaire de Maubeuge dans le nord de la France a connu une ascension exceptionnelle.
C’est à 100km de Lille que le jeune Benjamin commence sa carrière de footballeur à l’US Jeumont à seulement 6 ans. Un club où il restera 3 années qui va lui permettre d’intégrer le centre de formation de Lille. Après 10 ans au club, l’opportunité de jouer avec l’équipe professionnelle lui tend enfin les bras, il jouera son premier match professionnel sous les couleurs du LOSC en janvier 2015 face au FC Nantes. Il démarre la saison suivante en tant que titulaire avec la blessure de Marko Basa. Il disputera 25 matchs cette année-là, une prouesse qui lui a permis de susciter l’intérêt de plusieurs clubs européens. Au terme de cette saison, Pavard quitte le LOSC pour le club allemand de Stuttgart qui évolue alors en seconde division allemande pour 5 millions d’euros. Le joueur au 101 matchs officiel à seulement 21 ans participera à la remontée du club historique allemand en première division.
Benjamin Pavard peut jouer à plusieurs postes, mais Hannes Wolf (coach de Stuttgart) l’utilise majoritairement en défense centrale. C’est l’un des points forts de l’ex-Lillois, en plus de jouer défenseur central, il peut jouer latéral droit (en espoirs notamment) et même milieu de terrain.
Cette faculté n’a pas échappé au coach des bleus Didier Deschamps, qui a certainement influencé son choix, à savoir le choix de le sélectionner pour les deux matchs amicaux contre le Pays de Galles et l’Allemagne. Pavard jouera même une mi-temps entière face au Pays de Galles où il affichera une performance convaincante et trouvera même le poteau. Ce dernier semble y avoir prit goût, comme il l’explique en conférence d’après match “Quand on a goûté à une première au Stade de France, on a envie d’y rester. Je vais continuer à travailler pour revenir.”
Cette sélection le récompense de ses bonnes prestations, et lui permet de s’installer définitivement comme joueur clé. Il a d’ailleurs récemment prolongé jusqu’en 2021 dans son club. Reste plus qu’à lui souhaiter de participer au Mondial 2018.
Pierre de Foucaud (@pierredefd)
C’est à 100km de Lille que le jeune Benjamin commence sa carrière de footballeur à l’US Jeumont à seulement 6 ans. Un club où il restera 3 années qui va lui permettre d’intégrer le centre de formation de Lille. Après 10 ans au club, l’opportunité de jouer avec l’équipe professionnelle lui tend enfin les bras, il jouera son premier match professionnel sous les couleurs du LOSC en janvier 2015 face au FC Nantes. Il démarre la saison suivante en tant que titulaire avec la blessure de Marko Basa. Il disputera 25 matchs cette année-là, une prouesse qui lui a permis de susciter l’intérêt de plusieurs clubs européens. Au terme de cette saison, Pavard quitte le LOSC pour le club allemand de Stuttgart qui évolue alors en seconde division allemande pour 5 millions d’euros. Le joueur au 101 matchs officiel à seulement 21 ans participera à la remontée du club historique allemand en première division.
Benjamin Pavard peut jouer à plusieurs postes, mais Hannes Wolf (coach de Stuttgart) l’utilise majoritairement en défense centrale. C’est l’un des points forts de l’ex-Lillois, en plus de jouer défenseur central, il peut jouer latéral droit (en espoirs notamment) et même milieu de terrain.
Cette faculté n’a pas échappé au coach des bleus Didier Deschamps, qui a certainement influencé son choix, à savoir le choix de le sélectionner pour les deux matchs amicaux contre le Pays de Galles et l’Allemagne. Pavard jouera même une mi-temps entière face au Pays de Galles où il affichera une performance convaincante et trouvera même le poteau. Ce dernier semble y avoir prit goût, comme il l’explique en conférence d’après match “Quand on a goûté à une première au Stade de France, on a envie d’y rester. Je vais continuer à travailler pour revenir.”
Cette sélection le récompense de ses bonnes prestations, et lui permet de s’installer définitivement comme joueur clé. Il a d’ailleurs récemment prolongé jusqu’en 2021 dans son club. Reste plus qu’à lui souhaiter de participer au Mondial 2018.
Pierre de Foucaud (@pierredefd)
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